VOTRE MAIRIEBienvenue à Landébaëron
Plusieurs chemins mènent à Landébaëron. Cependant, on vient rarement ici par hasard !
L’itinéraire est assez simple, imaginez un point sur une carte, entre Guingamp, Bégard et Pontrieux, votre chemin est tracé ? Alors qu’attendez-vous pour nous rejoindre, en route !
Mais, ne partez pas dans ce périple sans être attentifs aux instructions.
Avant de vous hâter, retenez bien ce que l'on dit sur ce village :
« quand vous avez le sentiment d’être perdu, faites encore quelques efforts puis quelques mètres, et succomber à son charme... »
C’est là ! Votre destination se trouve désormais sous vos yeux.
Pour vivre heureux, vivons cachés. Ce bel adage, exprime la vision de la vie de ce petit village.
Mais sachez une chose : Landébaëron gardera à jamais ses portes ouvertes pour tous ceux qui souhaiteraient passer ou rester.
Mr le Maire Sébastien Tondereau
Au détour de bocages, rivières et légendes
L'Église Saint-Maudez et les Fontaines Sacrées
L’Église Saint-Maudez, témoigne de plusieurs campagnes de construction depuis le XIVe jusqu’au XVIIIe siècle.
L’édifice a beaucoup souffert des différents conflits liés à la guerre de Succession de Bretagne.
Il reste de cette période le porche du clocher, le chevet ainsi qu’un bel ornement sculpté, et disposé sur l’extrémité. Ce dernier porte un Dragon en granit, animal mythique, symbole des péchés capitaux.
Les autres parties du monument datent du XVIe et XVIIe siècle, sacristie et clocher à jour, celui-ci est surmonté d’une flèche de pierre. La chambre des cloches, à deux étages, au service de la prière et de la communication, accessible par une tourelle d’escalier hors œuvre.
Sur la façade sud un cadran solaire de 1697, instrument silencieux et immobile qui indique le temps par le déplacement de l’ombre de sa flèche.
L’édifice a beaucoup souffert des différents conflits liés à la guerre de Succession de Bretagne.
Il reste de cette période le porche du clocher, le chevet ainsi qu’un bel ornement sculpté, et disposé sur l’extrémité. Ce dernier porte un Dragon en granit, animal mythique, symbole des péchés capitaux.
Les autres parties du monument datent du XVIe et XVIIe siècle, sacristie et clocher à jour, celui-ci est surmonté d’une flèche de pierre. La chambre des cloches, à deux étages, au service de la prière et de la communication, accessible par une tourelle d’escalier hors œuvre.
Sur la façade sud un cadran solaire de 1697, instrument silencieux et immobile qui indique le temps par le déplacement de l’ombre de sa flèche.
A proximité de l’Église, les Fontaines Sacrées du XVIIe siècle.
Ces deux fontaines accolées datant du XVIIe siècle étaient, dit-on, dédiées à deux Saints différents.
L’une des niches est aveugle, l’autre possède encore la statue de Saint-Maudez.
Il en coulait, selon la mémoire, de l’une de l’eau douce, de l’autre de l’eau salée.
Une légende raconte que l’une des fontaines possède le pouvoir de guérir, furoncles et panaris.
Ces deux fontaines accolées datant du XVIIe siècle étaient, dit-on, dédiées à deux Saints différents.
L’une des niches est aveugle, l’autre possède encore la statue de Saint-Maudez.
Il en coulait, selon la mémoire, de l’une de l’eau douce, de l’autre de l’eau salée.
Une légende raconte que l’une des fontaines possède le pouvoir de guérir, furoncles et panaris.